Le Grand Livre du Vin de l’auteur Andrew Jefford, publié aux éditions Eyrolles tient la douce promesse de vous faire passer du simple plaisir gustatif à la compréhension des subtilités du vin. A travers un discours passionné, illustré par de belles photos évocatrices, l’ouvrage parvient à donner aux lecteurs, néophytes ou amateurs éclairés, des outils, des repères et des connaissance pour mettre ses sens en éveil.
Apprendre à décrire un vin
Les robes, les arômes, les saveurs, les textures : il faut laisser parler son ressenti olfactif pour apprendre à déguster le vin.
On hume le vin, on observe sa robe, on le laisse parfois décanter en carafe et souvent, on le verse dans des verres appropriés. On décrit les arômes et les saveurs du vin. Comment le vin se comporte en bouche, est-il rond, ample, l’attaque est-elle vive, le vin est-il charnu ou plutôt léger ? Comment s’exprime le tanin, cet ensemble de composés présents dans l’écorce des arbres, les feuilles et les baies ?
Le vin possède, à l’instar des parfums, une véritable architecture olfactive. Notes de tête, de coeur et de fond, l’analyse peut sembler subjective, elle n’en demeure pas moins exaltante.
Connaître les outils
Ce livre donne les outils pour comprendre le vin mais aussi les connaissances élémentaires : les cépages, les sols, les variations de l’environnement naturel et la façon dont l’homme élève la vigne. Le travail du vigneron tient une place importante dans la création du vin, il fait mûrir les raisins pour en tirer le meilleur.
Cet ouvrage, passe en revue les vignes, les sept cépages prestigieux, la biodiversité, le terroir et le rôle de l’homme avec une précision et une simplicité fort appréciables.
Voyager
Le Grand Livre du Vin évoque les vins du monde pour voyager et découvrir d’autres contrées par l’intermédiaire de nos sens. Le lecteur pourra explorer ainsi les paysages vierges de la Nouvelle-Zélande, les vignobles italiens vallonnés et d’autres destinations de rêve…
Une lecture plaisir pour passer de la théorie à la pratique
Ce livre n’a rien d’obséquieux, bien au contraire, il rend accessible un art bel et bien tangible, où souvent, il est vrai, la poésie prend le dessus.
