Vertige d’essences botaniques, tourbillons de lianes et de fleurs incandescentes, voilà le tableau d’une nature qui reprend ses droits. L’exaltation des sentiments jaillit sans crier gare dans un tableau végétal. Lalique crée un monde où le printemps est éternel. La faune et la flore y règnent fièrement, altières et prospères. Dans ce jardin d’Eden prolifique, chaque fleur est accueillie comme un porte-bonheur, le signe qu’un avenir meilleur se dessine comme une prophétie enchanteresse.
La nouvelle collection de bijoux Lalique ouvre le bal sur deux fleurs adorées de l’artiste joaillier de la Belle Epoque : la pivoine rose tendre très fournie et les élégantes clochettes de muguet symbole de chance.
Ces deux fleurs aux courbes voluptueuses exhalent la féminité et représentent la beauté intemporelle, bien qu’éphémère.
Les 2 collections de bijoux ont été dessinées avec délicatesse et montées avec passion pour sublimer l’éclat naturel de la femme.
La pivoine oscille entre le rose pastel et le rouge flamboyant et fait une entrée remarquée dans l’univers Lalique, qui jusqu’alors ne l’avait pas exploitée. Cette nouveauté lyrique et romantique se révèle ultra moderne et s’amuse à mettre ses pas dans ceux de la collection d’objets décoratifs de la Maison, singulièrement baptisée « Botanica ».
Bagues, bracelets, boucles d’oreilles et colliers déclinent la pivoine. On se plait à imaginer ces créations en cristal incolore nacré sur plaqué or jaune 18 carats ou en Cristal incolore nacré sur plaqué or jaune 18 carats, laque noire et perles de verre satiné rose, en accumulation pour un look romantico-rock.
Le muguet, associé au 1er mai et à l’arrivée de la belle saison se décline pour la première fois sur vermeil. Le cristal brillant incolore au cœur de cristal blanc est également disponible sur de l’argent.
L’avis de Paris Frivole : nous avons tant aimé la collection Aréthuse qu’il était difficile d’éclipser un tel engouement, pourtant, l’apparition de l’Orchidée dans le paysage Lalique vient faire de l’ombre à ce masque de femme coiffé d’une faune aquatique… Quelle splendeur ce rose tendre ! Quel romantisme et quelle poésie…