Derrière son visage angélique et son sourire pétillant, Izabela Sawicka a plus d’un tour dans son sac. Si la photographie est pour elle un moyen d’expression, cela n’en demeure pas moins une passion et une activité à temps plein. Derrière l’objectif d’Izabela, les femmes deviennent divines, enchanteresses et un univers magique s’installe…
Rencontre avec l’artiste…
Izabela, d’où te vient cet attrait pour la photographie ?
– Je photographie depuis toujours. J’ai fais les écoles d’Art Plastiques à partir de 15 ans. J’ai toujours su que la photo ferait partie de ma vie. Après avoir quitté l’école de photos à Paris, je suis devenue assistante dans un laboratoire et je faisais les tirages expo sur les toiles de grands formats.
Tu aimes la photo d’art, la mode et as un œil très avisé sur la beauté féminine, quand as-tu pris votre envol ?
-Je me suis lancée dans mon activité freelance il y a 4 ans avec la ferme intention de vivre de ma passion.
Comment choisis-tu tes modèles ?
– Au niveau des choix des modèles c’est très subjectif . je besoin un déclic. Je n”aime pas les personnalités lisses. Je n’ai pas besoin d’un corps ni d’un visage parfait, même si c’est ce qu’il y a de plus facile a photographier. J’aime les femmes fortes et fragiles a la fois, un certain vécu et une personnalité que l’on ressent.
Quels sont tes projets d’avenir ?
-Mes projets c’est surtout d’être encore plus libre dans les choix de projets que je réalise… Collaborer avec de jeunes artistes et des créateurs, de continuer de faire ce que je fais mais de faire moins et mieux, d’avoir le temps de préparer mes propres scénographies, pourquoi pas de stylisations, d’avoir le temps pour mieux préparer mes shootings . Je veux faire de plus en plus des expos. Enchainer 72 h d’affilé ne me fait même pas peur !
Retrouvez Izabela, le 4 octobre à la soirée Boudoir Frivole, consacrée à la mode !