Barbie est relayée au rang de femme inspirante à qui tout réussit. Au fil des années, l’icône de mode a endossé plus de 200 métiers, (reporter, vétérinaire, hôtesse de l’air, pompier ou astronaute), prouvant ainsi, à plusieurs générations de petites filles, que l’on pouvait accomplir ses rêves professionnels les plus ambitieux, tout en affirmant sa féminité. La frivolité ? Juste en apparence, Barbie est une femme brillante et volontaire.
« You can be anything », « tu peux être tout ce que tu veux », telle est sa devise !
Pour ce soixantième anniversaire, Mattel a lancé une gamme de poupées modernisées pour présenter 6 métiers emblématiques. Elle est pompière, footballeuse, candidate, astronaute, pilote de ligne ou journaliste.
La marque appuie sa communication autour d’une étude récemment menée autour du « plafond des rêves », qui démontre que les petites filles ont tendance à moins croire en leur potentiel que les garçons du même âge. Ce même plafond, Barbie compte bien le rompre en aidant les petites filles à se projeter vers un chemin ponctué par l’accomplissement de soi et par la réussite.
Animations dans les centres commerciaux, spots courts sur les réseaux sociaux, produits dérivés, gammes de produits chez Sephora et Undiz, éditions de livres chez Hachette : l’année va être riche pour les filles et les femmes fans de Barbie ! Le 16 mars prochain, la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris La Villette recevra deux cents couples parents-enfants seront invités, pour des “femmes inspirantes”, comme Aurore Le Boeuf, lieutenant sapeur-pompier, ou la journaliste Apolline de Malherbe. Les enfants pourront également participer à des ateliers de codage et expérimenter divers métiers via des escape games.
Paris Frivole était à l’événement Barbie du 11 octobre dernier, au Cercle d’Aumale pour découvrir un espace entièrement aménagé en l’honneur de Barbie avec des photocalls, des animations et une somptueuse exposition.
Un peu d’histoire : Il y a 60 ans, Ruth Handler commercialisait la première « poupée mannequin » nommée Barbie, en hommage à sa fille Barbara qui utilisait des poupées en papier pour inventer ses histoires et lui faire endosser des rôles.