C’est le 24 avril dernier que Paris Frivole s’est rendu à l’exposition Quentin Carnaille à la galerie d’art Joyce située dans les jardins du Palais Royal.
Celle-ci à susciter bien des interrogations quant aux recherches fondamentales de l’artiste. D’un côté l’esthétisme des objets d’art construits à partir de matériaux de montres, de l’autre l’incroyable recherche scientifique (voir astronomique) dont ils ont fait l’objet.
Lévitation, illusion d’optique ou mouvement fixe en sont des exemples.
Les oeuvres captent, fascinent mais gardent toujours une dimension métaphysique. Les créations sont comme des monuments, hérigés à la gloire de l’horlogerie ancienne, de l’âge d’or des calibres de montres. Quentin Carnaille est le lien entre l’ancien et le futur.
La quête du beau est incontestable et l’idée ingénieuse, après tout, les hommes sont prêts à mettre des millions d’euros dans des montres, pourquoi n’en mettraient-ils pas en décoration d’intérieure ?
S.
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