L’univers fantasmé d’Igor nous transporte dans un autre temps, dans un paysage pastel où la fantaisie trouve sa place.
Rencontre avec le très mystérieux Igor, mi-artiste, mi-magicien. Entrer dans l’Imaginarium d’Ighorium, c’est plonger dans ses propres rêves. En un regard, il arrive à deviner une part de vous parfois refoulée.
Paris Frivole a interviewé son artiste coup de coeur :
Igor, depuis quand avez-vous créé l’Imaginarium d’Ighorium ?
C’était il y a 6 mois, en retrouvant mon pays d’origine, la Bosnie, à Sarajevo. J’ai eu un déclic inexplicable.
L’univers féérique vient-il de votre enfance ?
Oh oui, c’est quelque chose qui ne m’a jamais quitté et a évolué…
Comment choisissez-vous vos modèles ?
Tout vient à partir d’une photo. Si celle-ci me parle, j’aurais envie de travailler avec le modèle.
Quelles sont vos inspirations ?
J’aime beaucoup le burlesque et le surréalisme.
Une anecdote pour les lecteurs de Paris Frivole ?
Parfois des artistes viennent se faire photographier avec une idée précise. Je les prends en photo et une toute autre idée va apparaître en regardant les clichés. J’ai transposé un modèle dans un verre d’absinthe, je la voyais aussi avec des serpents, sans raison, intuitivement. Et j’ai découvert qu’elle avait un serpent et adorait l’absinthe…
Quelle est votre définition de la frivolité ?
La frivolité c’est pour moi comme ces gourmandises que j’aime tant ( Capezzoli di Venere). Ce sont des marron glacé chocolat (cognac rhum, crème vanille amande noix de muscade …. ), j’ai découvert cela a Vienne.
Quelles sont vos perspectives d’avenir ?
J’envisage d’exposer mes clichés dans les mois à venir. Je dois trouver la Galerie idéale pour accueillir mes œuvres et pourquoi pas trouver un agent pour s’en charger ?!
Merci Igor !
https://www.facebook.com/limaginerium.dighorium