Voilà quelques temps que nous avons déposé tous nos flacons de spiritueux en vase clos dans un placard pour réfléchir au réel plaisir qu’ils nous procuraient, versus, la culpabilité que leur consommation – pourtant fort raisonnable – provoquait en nous. Oui, l’alcool n’a rien de healthy, pourtant, certaines liqueurs nous font chaud au cœur et certains Gin exaltent tant notre palais, qu’on les prendrait presque pour des élixirs de beauté et de santé.
Humez ce nectar délicat, qui à l’instar d’un parfum, possède des notes de tête, de fond et de cœur… Goûtez ces spiritueux réalisés avec finesse et passion. Rangez ces bouteilles d’apothicaires sur un petit chariot en laiton, ou bien, sur une coquette étagère et admirez les étiquettes… C’est certain, la sensorialité s’installe à tous les étages. Nul besoin d’être un épicurien averti pour le reconnaître.
Prenons l’exemple du gin Monkey 47. Cette prestigieuse référence dessine des étoiles dans les yeux des mixologues de renom et met l’eau à la bouche des connaisseurs les plus difficiles .
Certes, ces petites fioles psychédéliques sont divines, certes le nom est bien connu et la mascotte, cet adorable singe, bien reconnaissable. Mais au délà du packaging et du marketing, boire du Gin Monkey 47, c’est s’imprégner d’une histoire et d’un savoir-faire uniques en leur genre.
Le gin issu de la Forêt Noire se réinvente avec une cuvée disponible en quantité très limitée, en avant-première à La Grande Epicerie de Paris à partir du 1er juin 2020 et dans une sélection de bar à cocktails… Il s’agit du Barrel Cut, un gin veilli en fût de mûrier, un bois précieux réputé pour le goût subtil et raffiné qu’il confère aux spiritueux. Des fûts neufs de 110 litres sont utilisés pour la maturation de Monkey 47 Barrel Cut. Avant leur remplissage, ces fûts sont légèrement toastés : tout un programme pour donner du caractère au breuvage !
Le Gin Monkey 47 Barrel Cut s’apprécie “nu” ou bien en cocktails. Un Gin Tonic sera plaisant, avec un Tonic de qualité, et quelques aromates ou bien en Old Fashioned (5cl de Barrel Cut, 2 traits de bitters orange et 2 traits de bitter Angostura, 2cl d’eau et un morceau de sucre).
Le Barrel Cut vient compléter la collection en s’ajoutant au Dry Gin et au Sloe Gin Monkey 47. Sa singularité olfactive et gustative est remarquable : fruité, doux et gourmand. Au nez, ce gin sec fleure bon les fruits confits. En bouche, c’est une belle palette aromatique riche qui se dévoile. Il y a du miel, du bois, des épices douces et des notes de noisette…
Monkey 47 Barrel Cut est disponible en avant-première à La Grande Epicerie de Paris au prix de 54 euros la bouteille de 50cl.
A propos de la maison Monkey 47 : Un officier britannique, le Lieutenant Colonel Montgomery Collins de la Royal Air Force Britannique est tombé amoureux de l’Allemagne et a été très touché par sa reconstruction d’après-guerre. Il décida de travailler à la réhabilitation du zoo de Berlin. Il devint même (ô détail frivole), parrain d’un macaque asiatique du nom de Max… En 1951, il quitta l’armée et décida de se consacrer à sa passion pour l’horlogerie. Lassé de cette activité, il ouvrit une maison d’hôte qu’il nomma “L’Auberge du Singe Sauvage”, en allemand “Zum Wilden Affen”. L’aubergiste s’intéressa alors à la convivialité et décida de produire la plus anglaise des boissons… Un jour, dans les années 60, on retrouva dans une mallette en bois lui ayant appartenu, un flacon de gin avec une étiquette dessinée à la main représentant un singe avec les mots “Max The Monkey – Schwarzwald Dry Gin”. Et bien sûr, la recette y était glissée. L’homme qui fit cette découverte, Alexander Stein ressucita ce Dry Gin et s’associa à Christoph Keller, un distillateur local… Black Forest Distiller naquit. Aujourd’hui, le Gin Monkey 47 est considéré comme l’un des meilleurs gins au monde.
L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.